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Trouble in paradise.

Arrêt sur image.

Samedi 27 mars 2010 à 15:02

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La sensation de la Joie de vivre.

Juste ces moments ou on prend conscience de ce qu'on aime dans les banalités. Juste aimer se balader, écouter un morceau, voir du monde, se remémorer ces souvenirs. The queen and the Soldier, de Suzanne Vega. L'année dernière, Lucas. Bring me down, Lenka,Clélia. Su di noi, Pipo. Iris, Goo Goo Dolls ou Wherever you will go, The calling; Italie, Victor. Rude boy, Dub inc. Alex..... Et l'infini.


Di te non mi stanco mai

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Le jour comme la nuit.

Mardi 23 mars 2010 à 13:00


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On  rêve d'un idéal, on le prie, on l'appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves celle encore de les marier à une réalité dont on devient responsable. 

Le soleil. On oublie à quel point il influence notre vie. Il influence même mon avenir. J'irais n'importe ou, ou le soleil sera. Je vais bien. Je pense à planifier mon été, ça le rend plus proche. Italie, est-ce que je repartirais avec lui? Je pense que je ne veux pas, je veux rencontrer encore d'autres personnes. Recommencer avec d'autres, ailleurs, autre chose. Italie en Juillet, Espagne en aout. Ce serait parfait, vraiment parfait. Proche et loin à la fois.

« Tentant mais tant pis »
La même mélodie
Le jour comme la nuit
Rien jamais ne suffit
L’entrain, le mépris
L’envie et le dédain

Envie et dédain. Me ressemble.

Envie de soir, fêtes, paillettes, foule, musique, danse, boissons, rires, noir, mer, poissons, distance, air, nature, baignade, sable, famille, surnoms, repas, cousins, complicité, sud, Espagne, Italie, guitare sèche, tapas, brun, guapas, soeur, soleil, frère, soleil, père.

 
 

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Bad bad bad day.

Mardi 16 mars 2010 à 12:48

Fatiguée d'elle, pourquoi elle vient là, pourquoi elle ne peut pas s'empêcher de cri-er ? A cause d'elle je pleure, et elle ne comprend pas, je vais manger dans le salon. Je crois que du coup,elle a pleuré aussi, et puis moi encore plus. C'est absurde. Elle est absurde. Et puis moi, pourquoi je pleure? D'habitude je lui crie ce qui ne va pas, ce qu'elle est, et puis j'oublie. Mais là j'étais déjà fatiguée, j'étais déjà lassée et elle en rajoute. Ma mère ne peut pas réagir normalement. Et il suffit qu'elle répète ce qu'elle dit une dizaine de fois, pour que j'en arrive au même point qu'elle. Le pire c'est que j'arrive à culpabiliser pour elle, je me demande ce qu'elle se dit, je n'ai pas envie qu'elle pense qu'elle échoue. C'est juste qu'elle voit tellement les choses du mauvaise angle. Maintenant j'essaye d'arrêter de pleurer. Elle ne doit plus me parler, je ne dois plus y penser. Merde, ça aurait pu être une belle journée. Il fait beau, il fait bon, c'est la fin du trimestre. Et on ne sait jamais quelles proportions ça va prendre. Je veux juste partir.Partir partir partir loin, au sud, à la mer, rencontrer.


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Mfeo

Lundi 15 mars 2010 à 21:33

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Même une journée de JAPD passe vite. Ça me manquait et me manque de rencontrer de nouvelles personnes, de découvrir d'autres personnes.
Ma sœur écrit une lettre à mon père. Je ne savais même pas quoi dire. Je ne pensais pas qu'elle ferait ça, ça a toujours été moi qui faisait la communication, de la famille aux étrangers, qui demandait ou étaient les toilettes au restaurant pour elle, parce qu'elle n'aimait pas, et d'ailleurs c'est toujours moi qui demande si il y a d'autre taille de pantalons pour elle, c'est moi qui fait tout ça, qui ait fait ça. Et maintenant elle décide de lui écrire. Lui écrire comment, pourquoi concrètement? Oui au fond il y aurait tellement à lui demander, je voudrais tellement lui demander. Et les seules fois ou on en parle c'est que mon père est ivre. Et puis c'était ridicule, j'ai détesté qu'il mente sur ce qu'il faisait pour nous. Rien que la question de comment partir aussi loin de ses propres enfants? Partir, et abandonner leur éducation, tout laisser à celle qui était sa femme. Celle qui s'est occupée toute sa vie de trois petits enfants, qui a renoncé à sa carrière pendant que lui, il avait tout. Il avait vraiment tout même. Le soleil, l'argent, la maitresse. Et les enfants. Je devrais lui en vouloir. Mais on ne peut même pas lui en vouloir, on ne peut pas. C'est trop tard, et puis je ne renoncerais pas à la seule chose qu'il puisse m'offrir, de la tendresse. Et puis merde, à quoi ça m'avance d'y penser.

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Tournent tournent les violons.

Jeudi 11 mars 2010 à 21:26

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Tired.

Mardi 9 mars 2010 à 10:59

Parfois on dit rien mais on en tuerait bien certains.


Seule seule seule contre ça.
Rappel d'il y a deux ans, rester chez soi et ne pas travailler. Parce que pourquoi se donner tant d'effort pour ne rien gagner de plus?  Y a t-il quelque chose de pire que de se surpasser pour n'avoir rien de plus? Ils sont où, ceux qui ne me laissaient jamais seule face aux problèmes. Quand juste ça n'avait pas l'air d'aller,même pour un truc insignifiant. Il(s) venaient, juste me prendre dans leur bras et si je disais que ça allait, ils répondaient que non, ils me connaissaient. Il y en a peut être de moins en moins qui me connaissent, je me laisse moins connaitre. Ils sont loin, un peu partout mais loin. Et puis la distance, ça tue. C'était juste éphémère, mais c'était parfait. Ça reviendra, mais aujourd'hui non.  Julien dit que je suis franche, et que je le dis dès que ça m'énerve;. Et c'est vrai, je le fais parce que lui m'énerve,mais j'imagine qu'au fond je l'apprécie au moins un peu. Mais avec cette fille là par exemple, je n'y arrive pas. Je pourrais, mais je sais que ça ne fera rien de mieux. Alors ignorer est censé être facile. Je m'énerve pour rien, mais je ne contrôle pas ça, il y en a que je supporte pas. Physiquement pas. Alors je reviens vers ceux qui ont toujours été sûr, même s'ils sont loin, ils sont peut être plus là que ceux qui sont près. Ceux qui sont tout près, je les aime tellement. Mais je n'ai pas envie de trop les aimer, j'ai peur d'être moins pour eux, pas envie d'être l'écart alors je m'y met toute seule parfois. Et là, je le suis.

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Loin.

Lundi 8 mars 2010 à 22:22

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Envie d'ESPAGNE. Je ne fais rien, plus rien. Et sinon les jours passent, plutôt bien. L. dit qu'il faut mettre des barrières avant qu'on ne soit trop attaché, parce que là, il ne faut pas. On est dans des situations impossibles, et surtout elle. C'est dur de choisir, de choisir entre soi et les autres.Gagner un peu, perdre beaucoup? Moi je ne sais pas faire ça, de toute façon, ne pas penser aux autres et à ce que ça fera. Alors peut-être que je me prive de quelques choses. Mais les autres ne sont pas la seule raison. Mais ça fait du bien de pouvoir se parler. Je peux tout lui dire. Il y a un "vraiment tout" rarissime,et ce tout là. Elle est extérieure. Parce que j'en ai perdu des gens extérieurs, mais c'était mon choix. Je n'ai jamais regretté, j'ai juste la nostalgie de certains parfois. Quand on se sent seul, même avec tout ces gens autour, on est seul; On aurait besoin d'eux. Des soirs comme celui-ci, je pense que j'ai de la chance d'avoir ma sœur. Parce que malgré tout elle me comprend et me connait tellement bien.

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